Marcher sur l’eau blanche est une sculpture éphémère, constituée en saule vivant, dont la forme au sol, dessinée à l’échelle 1/18 ème, rappelle l’étang autrefois présent sur la prairie de Palaren à Guipavas.
L’installation pose la question de la disparition et de l’oubli, mais aussi du regard que nous portons sur notre environnement bio géo-physique et de l’impact de nos actions sur celui-ci, telle l’artificialisation des sols. Elle nous amène à réfléchir sur la capacité de résilience écologique.